Ce mercredi 27 mars 2024, Cyril Hanouna a orchestré une nouvelle édition de son émission phare, Touche pas à mon poste, sur C8. Au cours de cette émission en direct, l’animateur a décidé d’explorer les plus grandes peurs de ses chroniqueurs, dévoilant ainsi un moment particulièrement émouvant impliquant Raymond Aabou.
Un retour sur les temps forts de la journée
Avant d’aborder ce sujet sensible, Cyril Hanouna est revenu sur les moments marquants de l’audition de Yann Barthès par la commission d’enquête sur l’attribution des fréquences de la TNT. À travers des extraits vidéo, l’animateur a mis en lumière les instants où son rival avait visiblement du mal à répondre aux questions des députés, invitant même deux membres de ladite commission à témoigner sur le plateau.
Les peurs intimes des chroniqueurs
Après cette mise en contexte, Cyril Hanouna a choisi d’explorer un autre aspect de la vie de ses chroniqueurs : leurs plus grandes peurs. Parmi eux, Raymond Aabou a pris la parole pour évoquer un épisode traumatisant de son passé : un accident de voiture qui aurait pu lui coûter la vie.
Le récit poignant d’un accident évité de justesse
Raymond Aabou a ainsi replongé dans le souvenir d’une journée tragique où, accompagné d’un ami, il se rendait à Avignon en voiture. Pris d’un malheureux concours de circonstances, ils se sont retrouvés à vouloir faire demi-tour sur une plateforme en sable, une décision qui allait changer leur destin.
Alors que la voiture semblait équipée de toutes les technologies modernes, telles que le radar de recul, elle a fini par dévier de sa trajectoire et dévaler un ravin. C’est alors que la voix de Raymond se brise, évoquant les bruits terrifiants des branches heurtant la voiture et la sensation de chute imminente.
Un destin miraculeux
Par chance, un arbre s’est dressé sur leur chemin, stoppant net la course folle du véhicule. Mais les séquelles de cet accident sont toujours présentes pour Raymond, qui a rappelé la terreur qu’il a ressentie ce jour-là, une peur intense qui aurait pu lui coûter la vie.
Aujourd’hui encore, Raymond Aabou reste conscient de la chance qu’il a eue. Il réalise que sans l’intervention providentielle de cet arbre, l’issue aurait été bien différente, voire fatale. Une histoire marquante qui rappelle la fragilité de la vie et la force du destin.