Une Nounou Pas Comme les Autres
Dans l’univers de la royauté britannique, Tiggy Legge-Bourke est une figure emblématique, pourtant souvent méconnue du grand public. Cette femme, désignée comme « la deuxième maman » des princes William et Harry, a récemment célébré son 59e anniversaire, ravivant ainsi l’attention sur son rôle crucial dans la vie des enfants de Charles III.
Un Parcours Chargé d’Émotions
En 1993, Tiggy Legge-Bourke, de son vrai nom Alexandra, est embauchée par le prince Charles pour veiller sur ses fils, William et Harry, alors âgés de 11 et 9 ans. Son arrivée intervient dans un contexte familial tumultueux, marqué par la séparation du prince et de Lady Diana. Pour les enfants, cette nouvelle présence est une véritable bouffée d’air frais, et ils se lient rapidement d’une relation fusionnelle avec elle.
Des Origines Aristocratiques et une Relation Compliquée
Issue de l’aristocratie anglaise, Tiggy Legge-Bourke doit son emploi à ses liens familiaux avec la royauté. Pourtant, son intégration n’est pas sans heurt, notamment en raison des réticences de Lady Diana, qui voit en elle une rivale. Les tensions atteignent leur paroxysme lorsque des rumeurs d’une liaison entre Tiggy et le prince Charles surgissent, alimentées par des éléments de presse sensationnalistes.
Une Relation Privilégiée et Intemporelle
Malgré les tempêtes médiatiques, Tiggy Legge-Bourke reste un pilier dans la vie des princes. Après le décès de Lady Diana, elle continue à entretenir des liens étroits avec William et Harry, allant jusqu’à être présente à des événements majeurs de leur vie, comme les mariages. Plus qu’une ex-nounou, elle devient un membre de la famille élargie, renforçant ainsi les liens affectifs qui les unissent.
Une Présence Toujours Actuelle
Aujourd’hui, Tiggy Legge-Bourke poursuit sa vie loin des feux de la rampe, mais sa connexion avec les princes demeure forte. Elle reste proche d’eux, étant même la marraine d’Archie Mountbatten-Windsor, le fils cadet du prince Harry. Cette relation témoigne de la profonde affection et du respect mutuel qui subsistent entre eux, bien au-delà des rôles formels et des titres royaux.