Ancien joueur de la NBA aux Spurs de San Antonio, Tony Parker a échoué dans un cadre de vie idyllique en Normandie. À Quetieville, dans le Calvados, l’ancienne star du basket-ball a racheté une résidence qui s’étend sur 800m². Ce haras, qui date de 2021, a fait l’objet d’une déclaration récente lors de l’émission Zone Interdite diffusée sur M6 le 13 août. Dans cet article, découvrez la fascinante histoire de cette propriété rare et du nouveau projet de Tony Parker, loin des légendes du basket-ball mais tout aussi excitant.
Une propriété d’exception au cœur de la Normandie
Natif de Fécamp, Tony Parker a toujours été enraciné en Normandie. Même s’il a endossé l’essentiel de sa carrière outre-Atlantique, au pays de l’oncle Sam, le sportif a décidé de rentrer dans sa terre natale, où il apprécie passer des moments plus tranquilles en pleine campagne. Contrairement à bon nombre de célébrités qui préfèrent les bords de la Méditerranée, le joueur de basket se plait énormément en Normandie. Ainsi, lorsque le journalueur lui demande si c’est un coin de paradis qu’il a trouvé en Normandie, le joueur de NBA lui répond oui.
Lors de sa visite dans l’émission de Zone Interdite, Tony Parker s’accorde le luxe de montrer fier son haras de 800m² sur un paysage de 83 hectares. Acquis en novembre 2021 avec son ancien camarade et ami Nicolas Batum, le domaine est, selon le présentateur, une perle. En construire 50 boxes d’élevage, le bâtiment peut être utilisé pour l’élevage et le repos des équins. Tony Parker exprime son amour pour ce lieu : “Dès que je suis rentré, j’ai vu ça, j’ai dit ‘C’est bon ! C’est chez nous !’ ». Dans ses propos se révèle un coup de foudre inouï pour sa nouvelle résidence.
Le haras n’est pas seulement une résidence d’été pour le basketteur de NBA. C’est aussi un lieu où il peut se ressourcer avec sa famille et ses amis. “Quand je viens à l’haras, j’aime bien venir avec beaucoup de monde, parce que ma préférence reste avec les enfants. Mes enfants adorent venir ici “. Ainsi, cette résidence est un lieu de villégiature aménagé, mais avant tout un lieu de partage avec sa famille et ses amis.
Un nouveau projet ambitieux : L’élevage de chevaux
En plus de l’exceptionnel cadre de vie de ce haras, Tony Parker s’est lancé dans un projet des plus excitants: l’élevage de chevaux. Il s’agit là d’un virement étonnant mais néanmoins marge de l’exception de l’après carrière du sportif. Ce projet a pris une ampleur différente dès lorsqu’il décide d’ouvrir son haras aux activitaires d’eleveges et de pensions pour chevaux. On décompte des pensions de repos pour les chevaux pur-sang et des pensions d’élevage pour les juments. En février dernier, il arrive à bonne capacité signifiant son succès naissant. Le succès, pourrait avoir été plus grand encore. La popularité du hara pousse Tony Parker à agrandir le domaine. Il construit dans un premier temps 54 boxes supplémentaires pour les yearlings et acquière dans un temps général, 27h des terres supplémentaires. Pour réaliser ce projet d’agrandissement, il lance une collecte de fonds sur la plateforme Bricks.co le 15 mars. En effet, Tony Parker visait à récolter 1 072 000 euros d’investisseurs particuliers avec une part minimum de 10 euros. En un temps record le succès est au rendez-vous “objectif atteint en moins de 50 minutes, avec pas moins de 700 000 € levés en 5 minutes seulement » précise la plateforme. Au total, ce sont 2 808 investisseurs particulier qui ont contribué au projet et prouvant ainsi le succès de ce projet.
Une passion partagée et un projet de démocratisation de l’élevage équin
Pour lui, le but n’est pas seulement d’agrandir son empire. Il veut aussi rendre populaire l’élevage des chevaux et introduire autant de personnes que possible dans ce monde. En ouvrant ce projet au public et en acceptant la collecte d’investissement, l’ancien grand joueur de basket-ball veut expulser une occupation qui peut sembler à tant de gens une activité réservée aux élites. En demandant une contribution aussi basse que 10 euros pour commencer à investir dans son projet, Parker habilite ces mêmes personnes à apprendre le monde à tout le moins extrêmement intéressant. De plus, il est même envisageable que cela ait un impact sur l’économie de sa zone de migration. Toute augmentation de la capacité du haras entraînera une demande accrue de bras pendant la saison morte, ce qui entraînera probablement la création de plus d’emplois dans la région reliée au haras. Par son initiative, Tony Parker stimulera sans aucun doute l’industrie équine en Normandie, qui abrite un certain nombre d’écuries prestigieuses pour les chevaux de course.
Une nouvelle vie loin des terrains de basket
Même si Tony Parker est reconnu pour ses performances exemplaires en basket-ball, ce projet d’élevage de chevaux prouve qu’il peut exceller dans un autre domaine. Il montre à quel point cet homme est doué et capable de renaître de ses cendres après une brillante carrière dans le sport professionnel. Je pense qu’il a réussi à prouver qu’au-delà du terrain, le succès était possible dans un autre secteur si vous donniez autant, voire plus d’efforts et de détermination. Je conviens que le passage de la NBA au monde de l’équitation est inattendu, mais il décrit parfaitement la nature de ton personnage. Il cherche constamment de nouveaux défis et fait en sorte que les personnes compétentes l’entourent pour atteindre le succès.
Une résidence et un projet porteurs d’avenir
LLa résidence normande de Tony Parker et son haras de 800m² ne sont pas que des symboles de luxe et de réussite, mais aussi des éléments actifs inspireurs d’innovation dans le secteur de l’élevage chevalin. En impliquant le public dans son projet et en l’associant à une campagne de collecte de fonds, Parker montre qu’il est tout à fait possible de réunir la combinaison de passion personnelle et d’accès général ouvert. Avec ce domaine dans le cœur du Calvados, le sportif acquiert non seulement un refuge, mais aussi un terrain fertile pour de nouvelles aspirations. Son arsenal de jardin neuf toits son engagement à laisser une connaissance pas juste note dans l’histoire du sport, mais aussi dans celle des affaires et de l’agriculture chevaline. De retour chez lui en Normandie, le joueur continue donc d’écrire son histoire, vivant loin des projecteurs mais avec autant de compétitivité que jamais.
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