Sylvie Vartan ne devrait pas apprécier ce titre d’un magazine people qui évoque une vidéo torride d’elle et Johnny Hallyday.
La chanteuse, que ses fans devraient retrouver sur scène en fin d’année, pourrait ne pas goûter à l’annonce faite par le magazine Trance Dimanche. La publication qui présente le même thème graphique que France Dimanche a dévoilé en titre: « La s**tape, la vidéo torride avec Sylvie révélée ». Mais il s’agit d’une intox.
Sylvie Vartan est restée mariée plusieurs années avec Johnny Hallyday avec qui elle a eu un fils, David Hallyday. Mais bien que les deux artistes se soient aimés énormément, leur couple n’a pas toujours été apaisé. Les nombreux écarts du rockeur ont fini par avoir raison de la patience de la chanteuse qui a demandé le divorce.
D’après Marie Desjardin, auteure de l’ouvrage Sylvie-Johnny-Love Story, paru aux éditions Porte-Bonheur, la mère de David Hallyday a été humiliée plus d’une fois par son premier mari. « Ce n’est un secret pour personne, Johnny avait l’habitude de découcher et il lui était infidèle », expliquait l’écrivaine.
« Sylvie passait ses nuits à l’attendre, seule, pendant qu’il faisait la fête avec tout son staff. La vie de Johnny, c’était le quotidien d’une rock star, toujours en tournée », ajoutait-elle. Johnny Hallyday n’était même pas présent le jour de la naissance de son fils. En tournée, le taulier ne serait arrivé que le lendemain auprès de son épouse.
« Il n’est resté que quelques heures puisqu’il avait le soir même un concert à Venise. Il avait 23 ans. Il ne semblait pas prêt », affirmait l’auteure. Lorsqu’elle quitte le rockeur, Sylvie Vartan s’installe aux Etats-Unis où elle se remarie plus tard avec le producteur Tony Scotti, avec qui elle a adopté sa fille Darina.
Sylvie Vartan a passé une partie de son enfance en Bulgarie, son pays natal. Lorsqu’elle arrive en France à l’âge de 8 ans, elle ne parle pas le français. Ses parents ont alors décidé de fuir, avec son frère et elle, la dictature communiste de l’époque. Cependant, elle ne reverra pas ses grands-parents restés dans le pays.
