Sophie Davant sous le choc après des critiques sur la toile

La jolie blonde est très souvent victime de critiques pour son comportement dans l’émission diffusée sur France 2 dans Affaire conclue. L’animatrice a dû mal à digérer toutes ses salves. D’ailleurs, elle se décrit comme étant « extrêmement sensible », et a décidé de répondre à toutes ses attaques !

Méchante, trop exigeante, ne s’intéresse pas aux vendeurs : voici ce qui est reproché à la célèbre présentatrice de France 2

D’autant plus qu’elle est même dépeinte comme une « fausse gentille » suite à son comportement dans Affaire conclue, la jolie blonde est très régulièrement victime d’insultes sur le web.

Dans une interview accordée à nos confrères de Télé-Loisirs, Sophie Davant indique recevoir sur les réseaux sociaux des propos « extrêmement élogieux et positifs », et « deux ou trois commentaires qui font du bashing ». Mais sur la toile, les critiques sont plus importantes que les éloges.. Leurs insultes quotidiennes, blessent Sophie Davant.

Comment gère-t’elle les critiques

Sophie Davant s’attendait à être attaquée en dévoilant sa véritable personnalité : « Dans l’émission Affaire conclue, j’ai voulu être moi-même. J’ai une personnalité avec du relief, je peux être aussi légère et rigolote, que profonde et retenue, a-t-elle expliqué. J’ai un certain humour, mais cet humour cache une certaine pudeur. Parfois je me laisse aller à de l’humour, certains téléspectateurs perçoivent ça au premier degré. Marc-Olivier Fogiel avait tout compris en intitulant son émission On ne peut pas plaire à tout le monde. » La présentatrice a de plus en plus de mal à critiquer ses attaques.

Elle a également ajouté : « Entre nous, je suis extrêmement sensible, je peux être déstabilisée par la méchanceté, confie-t-elle à Télé-Loisirs. Je suis comme tout le monde, j’ai un coeur. »

Avant de conclure « Je crois qu’on ne fait pas ce métier par hasard. Quand on fait ce métier, c’est qu’on a des failles et qu’on a besoin d’être aimé, je suis tout à fait lucide là-dessus. Je vous avoue que je ne vais pas trop regarder car cela me blesse. »