Le prince Harry aurait accepté de réviser ses mémoires afin de les rendre moins tranchants à l’endroit de la famille royale.
Le prince et la princesse de Galles seraient parvenus à convaincre le duc de Sussex de modifier ses mémoires. Affecté par la disparition de sa grand-mère, la reine Elizabeth II, et peut-être attendri par ses retrouvailles avec son frère et sa belle-soeur, il serait quelque peu troublé en raison de quelques passages dans son livre, indique le Mail on Sunday.
Il entendrait désormais les modifier et les rendre plus digestes pour les Britanniques qui lui en voudraient certainement longtemps dans le cas contraire. Le duc de Sussex serait mal face à son frère, le prince William, et son père le roi Charles. Dans ce contexte, il aurait demandé que soit modifié de façon radicale son livre qui serait déjà chez son éditeur.
« Harry leur a mis des bâtons dans les roues des éditeurs », affirme un proche du second fils du roi Charles. Le prince Harry souhaite, maintenant que la reine n’est plus, que ses funérailles se sont déroulées et que son père est le nouveau roi, peaufiner l’ouvrage. Mais sa maison d’édition, Penguin Random House, lui aurait déjà versé une avance.
Celle-ci s’élèverait au montant de 20 millions de dollars. « Dans le livre, il pourrait y avoir des passages qu’il serait malvenu de publier si tôt après les événements. Il veut désespéremment faire des modifications. Mais il est peut-être déjà trop tard », est-il entre autres encore souligné. Une situation bien compliquée dans laquelle s’est mise le prince Harry.
Olga Ciesco, spécialiste du langage corporel, s’est intéressée au comportement des membres de la famille royale lors de funérailles de la reine. Chez Meghan Markle, elle note » comme une volonté de surprotection par rapport à William, voire comme une sorte de bienveillance dominante envers son époux ».
« Malgré le protocole et le contexte qui leur imposent une certaine distance, Harry et William agissent par mimétisme tout le long de ces retrouvailles à Windsor », déclare la spécialiste, avant d’expliquer: « En reproduisant les mêmes gestes en même temps, les deux frères traduisent en signes un sentiment de proximité retrouvée ».
