Condamné, un terrifiant tueur en série fait de nouvelles révélations glaçantes.

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Torso Killer a été condamné pour plusieurs crimes. Le tueur en série avoue quatre autres meurtres.

Celui que l’on surnomme Torso Killer, un tueur en série américain, a été condamné pour onze meurtres. Il a en plus reconnu dernièrement cinq autres assassinats, commis entre la fin des années 60 et le début des années 70. Il s’agit de cinq femmes qu’il a reconnu avoir tué à Long Island. Il a avoué être au total responsable de cent meurtres.

Richard Cottingham, de son vrai nom, a été surnommé Torso Killer en raison de sa manie à découper la tête et les membres de ses victimes. Le tueur en série, qui a travaillé comme programmateur informatique, a dévoilé un mode opératoire qui donne froid dans le dos. Les enquêteurs découvrent notamment que concernant le meurtre de Diane Cusick, le tueur s’est fait passer pour un policier. 

Après l’avoir suivie jusqu’à sa voiture, il l’aborde une fois à sa hauteur. Le tueur en série l’accuse de vol. Il la maîtrise, avant de l’abattre. Le médecin légiste a notamment retrouvé sur le visage de la victime lors de l’autopsie des traces de coup. Mais à l’époque, il n’était pas possible de réaliser une analyse des traces ADN sur le corps de la victime ou la scène de crime.

L’ADN du tueur américain n’est enregistré qu’en 2016, permettant de le faire condamner pour meurtre. Les enquêteurs établissent alors un rapprochement avec cinq autres meurtres de femmes non élucidés à ce jour. Or, durant son procès, Richard Cottingham avoue avoir assassiné quatre autres femmes entre 1972 et 1973.

Torso Killer « a reçu l’immunité de poursuites pour les quatre autre membres. A l’issue de son procès, il est condamné à 25 ans de réclusion criminelle et finira sa vie derrière les barreaux », est-il renseigné. « Aujourd’hui est l’un des jours les plus émouvants que nous ayons jamais au bureau du procureur du comité de Nassau », a affirmé Anne Donnelly, la procureure

Elle s’exprimait ainsi lors d’une conférence de presse rapportée par The Guardian. « Dans le cas de Diane Cusick, sa famille a attendu près de 55 ans pour que quelqu’un soit tenu responsable de sa mort », a poursuivi la procureure concernant ce dossier. Les derniers aveux interviennent a peu près trente années après les assassinats.

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